L’île d’Hispaniola a été du 7 au 15 novembre 2015 le lieu de rendez-vous de la protection des «hotspots» de la biodiversité,
grâce à la présence du Critical Ecosystem Partnership Fund (CEPF) et de ses invités, dont a fait partie Romain Renoux pour le projet européen BEST. La première partie des rencontres a eu lieu du 7 au 11 novembre à l’est de l’île, en Haïti, puis du 11 au 15 en République Dominicaine. La mission du CEPF s’apparente beaucoup à la mission BEST, qui d’une certaine manière la complète, puisque le CEPF s’intéresse avant tout dans le monde entier aux territoires les plus pauvres, qu’elle soutient dans la préservation de leurs écosystèmes. Comme BEST, avant tout financement, le CEPF réalise un profil d’écosystèmes afin d’identifier les priorités en termes de conservation de la biodiversité. L’idée, pour Romain Renoux, était d’apprendre de l’expérience du CEPF dans la région caraïbe, particulièrement en participant à son atelier d’évaluation de leur investissement dans la Caraïbe depuis 2010. Parmi les participants, on trouvait les bénéficiaires de financements, les bailleurs de fonds et les représentants des gouvernements.